La Grosse Merde
Par :
Philosophie Travail présenté à :
Département de Philosophie
Date de remise :
J’atteste que j’ai personnellement produit ce travail et que j’ai indiqué tous les emprunts de textes ou d’idées (provenant de documents écrits, oraux ou visuels).
Signature des l’étudiants :_____________________________________________________________
La pauvreté est l’un des problèmes majeurs depuis des décennies. Tout homme tel qu’il soit et où qu’il soit est à la recherche de mode de vie qui lui semble convenable. Plusieurs organisations essayent de contribuer pour la réduction de la pauvreté. Le bilan indéniable est que la pauvreté est une problématique majeure que même les technologies, les découvertes dans tous les domaines, que ce soit alimentaire, scientifique ou n’importe laquelle ne pourront pas contrôler. Le nombre de pauvres ne cesse d’accroitre. Le phénomène se présente sous plusieurs formes. La communauté internationale tente d’appréhender la pauvreté, mais cette dernière ne cesse de disperser et affecter de nouveaux gens. La pauvreté est plus perceptible lorsqu’on compare la pauvreté entre différentes pays. La définition attribuée à la pauvreté n’est pas le même tout autour de la planète. La pauvreté pour une personne vivant dans un pays développé serait d’avoir un niveau de vie inférieure à la moyenne de la population. Tandis que la pauvreté dont il est question dans ce texte concerne celui des pauvres qui vivent dans des pays en non développée ou les pays en voie de développement. Le dilemme moral qui se relève dans cette situation nous propose deux solutions, soit d’aider les pauvres ou soit de ne pas les aider. On se pose la question si on devrait venir en aide aux personnes pauvres ou pas, car nos désirs personnels et nos valeurs morales sont mises en jeux. On est conscient de l’injustice sociale, de la répartition injuste des richesses, de l’injustice en termes de droits que les pauvres endurent régulièrement pour la