Andromaque | | Andromaque est sensible. Elle veut la paix. Elle aime la nature, la vie "le murmure des coquillages". Nous sommes peut-être au premier jour de "l'entente entre l'homme et les bêtes".Au début de la pièce, elle est positive et naïve. | Elle croit que la guerre peut être évitée si l'on rend Hélène aux Grecs. "On va bien lui envelopper sa petite Hélène et on va lui rendre". Mais à la fin, elle remarque que la guerre ne peut être évitée. | Cassandre | | Cassandre se moque d'Andromaque et de son amour pour la nature. Elle est tout le contraire, elle est négative : "On va le recevoir grossièrement, on ne lui rendra pas Hélène, et la guerre de Troie aura lieu...". Son don de voir l'avenir est alimenté par son pessimisme. "... cela ne te fatigue pas de ne prévoir et de ne voir que l'effroyable ?" | | Hector | Hécube | Hector est un vaillant soldat qui comprend que la guerre ne sert à rien. Il hait la guerre. Il est l'aîné de la famille et le futur roi. Il veut rendre Hélène aux Grecs. Il ne veut pas faire la guerre pour une femme.
"...nous devons nous précipiter pour fermer les portes de la guerre, les verrouiller, les cadenasser. Il ne faut pas qu'un moucheron puisse passer entre les deux battants..." | Hécube est jalouse de la beauté d'Hélène "alors, rendez-la vite aux Grecs... c'est une blonde...". Elle est aussi jalouse que tout le monde lui tourne autour. Elle l'insulte et est du même avis que son fils Hector, on ne doit pas faire une guerre pour une femme " c'est la façon d'aimer des impuissants... | | Pâris | | Il aime Hélène même s'il n'aime pas les femmes "leurs étreintes sont de la glu, leurs baisers des effractions, leurs paroles de la déglutition...". Il aime les faire souffrir. C'est lui qui est à l'origine de la chute de Troie. Il est coupable d'avoir enlevé Hélène et de n'avoir pas voulu la rendre aux grecs, même si cela devait devait provoquer une guerre. | Priam | Hélène | Priam est subjugué par la beauté d'Hélène,