INTRO : La liberté devrait se définir comme un état d’indépendance et d’absence de contraintes. On ne doit se sentir ni prisonnier, ni sous le joug de quelqu’un. Beaucoup de philosophes ont discuté ce principe. Par cette étude, ils ont alors établit des liens avec d’autres concepts tels le déterminisme, théorie selon laquelle tout événement se produit sur un principe de causalité.
Dans un premier temps, tout homme doit se sentir libre dans le but d’être maitre de lui-même, de s’autogérer et d’avoir ses propres valeurs, faisant de lui son unicité. Néanmoins, il existe certaines limites, extérieures tels les lois ( comme les lois imposées par la société dans laquelle nous vivons), comme interieurs tels les besoins fondamentaux du corps. L’homme possèderait alors une part de liberté au sens moral. En effet, la liberté d’opinion par exemple, soit la liberté de penser, est un droit légitime qui ne peut être controversée tant qu’elle reste personnelle et n’influence ni ne force aucunes autres personne à en prendre part.
En occident en particulier, les libertés d’opinions sont admises. On entend très souvent parler des certaines manifestations qui se déroulent pour toutes sortes de sujets. On parle également de liberté de presse, consistant à échanger son point de vu, sa critique, par l’intermédiaire de divers moyens. Cette liberté est encore malheureusement trop malmenée dans certains pays, telle la Chine, où le pouvoir politique est obsédé par la stabilité. La liberté d’opinion peut également se manifester par la voie des artistes, échangeant leur point de vue à travers leurs œuvres toutes originales et uniques les unes que les autres, leur permettant ainsi de partager et transmettre des témoignages à la postérité. l La liberté ne serait alors pas totale en toutes circonstances. L’homme serait libre à partir du moment où il ne nuirait pas à autrui tel que Holbach l’a dit : « Le liberté est la faculté de faire pour son propre bonheur tout ce qui ne nuit pas