Le refrain est en langue Zoulou et les couplets sont en anglais.
Les instruments tels le balafon, les percussions, appartiennent à la culture africaine
Alors que le piano électrique, le synthétiseur, la guitare électrique, la basse , la batterie électrique et la guitare acoustique appartiennent à la culture anglo-saxonne de la pop et du rock.
La version en live où Johnny Clegg accueille Nelson Mandela n'inclut pas malheureusement tous les instruments zoulous de la version instrumentale dont nous disposonsNom Prénom classe Date
Contrôle bilan Séquence 1
Introduction :
« Asimbonanga » est une chanson engagée de Johnny Clegg crée en 1987 en l'honneur de Nelson
Mandela pour sa lutte contre l'Apartheid. Elle s'inscrit dans la problématique des démocraties face à la décolonisation
I – Présentation de l'oeuvre
Alors que l'apartheid sévit en Rhodésie c'est à dire l'actuel Zimbabwe, ce chanteur surnommé le
Zoulou blanc se fait l’ambassadeur des cultures noires de l’Afrique méridionale et fait de la synthèse entre le folk, le rock et la musique traditionnelle zoulou une arme idéologique et pacifique contre la ségrégation entre Noirs et Blancs.
A- L'analyse
Le refrain est en langue Zoulou et les couplets sont en anglais.
Les instruments tels le balafon, les percussions, appartiennent à la culture africaine
Alors que le piano électrique, le synthétiseur, la guitare électrique, la basse , la batterie électrique et la guitare acoustique appartiennent à la culture anglo-saxonne de la pop et du rock.
La version en live où Johnny Clegg accueille Nelson Mandela n'inclut pas malheureusement tous les instruments zoulous de la version instrumentale dont nous disposons.
La mélodie est construite sur une gamme pentatonique de SOL comme dans la tradition zoulou
Le texte est une poésie symbolique sur le thème de la réconciliation.
B- Le contexte artistique
Né en 1953 en Grande Bretagne de parents polonais et lituaniens réfugiés en Afrique du Sud,
Johnny