Entretenir notre liberté existentielle est aujourd'hui l'action la plus importante que l'on pourrait entreprendre. Si Jean-Paul Sartre affirmait le fait que « nous sommes condamnés à être libre », c'est tout simplement dût au fait qu'il raisonnait ses pensées et annonçait des paroles vrais et réalistes. Sommes-nous réellement libre ? Détenons-nous la liberté que nous voulons ? Au fond, qu'est-ce-qui nous en empêcherais ? Aussi humain, que l'on puisse l'être les réactions en tout genre que nous ayons, sont des plus exagérées possibles. Dire maladroitement « Je n'avais pas le choix », n'est qu'une manière de se rassurer, se protéger, s'affirmer que cela est vrai, qu'aucunes autres solutions étaient possibles. Une manière de protection, et de se déresponsabiliser, de se permettre et s'autoriser à ne pas assumer nos faits et gestes. Cependant, il est vu que nous avons toujours le choix. Nous détenons la liberté d'avoir nos propres décisions, de les entreprendre nous même, sans subir notre vie. Se convaincre que nous ne possédons aucuns autres choix que celui qui nous est montré, est une manière de facilité d'avancer. Mais dans combien de pourcentage de ces cas là, ce choix nous déstabilise, nous fait réfléchir, ne nous reflète pas et nous déçoit-il ? Dans combien des cas, cela se passe-t-il de cette manière ? Afin d'éviter un sentiment de mélancolie et de tristesse, crée par nos propres erreurs de jugement, n'est-il pas préférable d'entreprendre une remise en question et de s'apercevoir que le bonheur est à notre porté ? Que ce sentiment de joie n'arrive pas qu'aux autres ? Tout le monde peut le détenir. Il suffit simplement de se persuader qu'il existe et que c'est nos choix qui le créent. Nous ne dépendons de personnes et surtout pas des autres. Seulement de nous même. Notre existence prendra le seul chemin que nous déciderons de lui donner par les multiples décisions que notre esprit prendra. Alors oui, notre seule condamnation est le fait d'être libre. Regarder le