La liberté
La liberté.
Intro : qu’est-ce que la liberté ?
Agir sans contrainte. La liberté est opposée à la contrainte.
Je peux faire ce qui me plaît, manger tout ce que je veux.
Vacances : il y a de la liberté car on n'a pas/peu de contraintes. La liberté est toujours limitée exemple : pendant les vacances on est par l'argent.
Il y a des limites politiques.
Polis : la cité.
Politique : il faut entendre tout ce qui concerne la vie au sein d'une cité.
Une cité est un État qui a pour dimension une ville. La cité est la première forme de la société politique, la première forme de l'État.
La liberté pose un problème politique car la liberté s'arrête là où commence celle des autres. Ma liberté doit être limitée pour être compatible avec celle des autres.
Ne pourrions-nous pas être libres ensemble ?
Si vivre en société c’est restreindre sa liberté, alors c'est une forme d'esclavage.
I) de la liberté politique à la liberté morale.
1) Maître/esclave.
Le citoyen, c'est l'homme libre. C'est un statut politique et juridique.
L'homme libre se définissait par rapport à des esclaves dans l'antiquité.
Il n'était la propriété de personne.
L'homme libre n'obéit à personne d'autre que lui-même. La liberté c'est ne pas avoir à obéir. Est-ce que la loi est contraire à la liberté ?
L’homme libre est autonome. Il doit obéir à la loi qu’il s’est prescrite.
Il se dirige lui-même, il n’a pas de maître.
La liberté n’est pas que la liberté politique. Elle ne suffit pas pour définir la liberté.
Car « se diriger soi-même » montre qu’on est capable de se maitriser.
Il y a une dimension morale. Il y a un rapport à soi-même.
Epicktête (ancien esclave) : il y a des hommes politiquement libres et moralement esclaves. Il y a aussi des esclaves plus libres que d’autres qui ont la personnalité juridique.
2) passion et liberté.
C’est plus fort que moi ; c’est un cas où on n’est pas capable de se diriger nous-mêmes.
On est