La littérature française du 18e siècle
- la critique de l'église catholique et du régime absolutiste sous le règne de Louis XIV (après sa mort en 1715 - sous le règne de son régent F. d'Orléans il y a une libération momentanée)
- la source de l'inspiration - Dictionnaire historique et critique de Pierre Bayle de 1697 (il est le premier auteur de la Revue moderne critique)
- les critiques du pouvoir absolutiste: P. Bayle, Saint-Évremond, B. Le Bovier de Fontenelle
- l'intérêt de la science et des œuvres scientifiques
- l'expansion du français et de la culture française dans l'Europe
La culture se déplace de la cour royale vers la ville, dans les salons, cafés et clubs dominés par les nouvelles élites liées à la haute bourgeoisie, à l’administration royale, aux professions libérales et à la noblesse réformiste.
Les cafés et les clubs, reflet de la mode anglaise, sont les nouveaux lieux culturels - non plus privés, mais publics ou mi-publics: café de la Régence, café Procope (Fontenelle, Voltaire, Diderot, Marmontelle), café Gradot, café Laurent, club de l’Entresol (Montesquieu, abbé de Saint-Pierre).
Un des aspects de l’état d’esprit du 18e siècle est la passion des idées, soutenue par la confiance dans la raison humaine et la foi optimiste dans le progrès. Le nouvel humanisme qui en découle trouve sa nouvelle expression dans les idées de tolérance et de libertés fondamentales liées plus tard au concept de citoyen.
- cosmopolitisme soutenu par la suprématie culturelle de la France et du français
- l'intérêt profond de la philosophie: qu'est-ce que c'est qu’une connaissance et qu’est-ce qui se trouve au fond de cette connaissance → la nature → Déisme, la vraie connaissance est variable, pas constante
Jean-Jacques Rousseau - pour résoudre tous les problèmes de la société humaine il faut retourner vers la nature qui seule est pure
- sentimentalité, idéalisation de l’homme naturel primordial, mythe de retour vers la nature
- la plus grande