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Les lois sont les représentantes d’une autorité et s’imposées à tous. Par cela même, ces lois devraient donc être irréfutables et l’idée de transgression ne pourraient apparaitre. Cependant, ilparait bien souvent évident qu’une notion de légitimité pousse les hommes à se dressaient face à cette idée de légalité. En effet, peut on vraiment dire que les lois sont indéniablement et toujoursjustes ?
Mais quelle force représente la loi ?
Comme le montre Sophocle dans Antigone, la loi possède un caractère intransigeant : rien ni personne ne peut entraver à son application. C’est le cotéuniversel de cette force qui maintient l’ordre dans une société. Que ce soit les lois divines de chaque religion ou bien les lois humaines, nul n’est censé ignorer ou pouvoir ignorer ces lois.
Lemaintien de la paix est la chose la plus précieuse d’une société, et l’Etat en est garant. Le désordre social est source de conflits et de non respect de la liberté. C’est pour cela qu’il est inconcevable,d’après Kant dans la Métaphysique des mœurs, qu’une quelconque remise en cause de l’application d’une loi soit acceptable, même si ces lois sont injustes ou bien arbitraires. Pour Spinoza de même lerespect des lois et la soumission à celles-ci sont une règle fondamentale, et en aucuns cas elles ne doivent être violées. Pour Kant, un pouvoir illégitime termine obligatoirement par sa destruction.
Lesouci premier est d’éviter la guerre civile, et de maintenir l’ordre et la paix dans un groupe social. En effet même si ces lois sont basées sur la violence, celles sont acceptées et respectées parles gouvernés puisqu’elles représentent l’ordre.
Cependant, cette notion de légalité ne se heurte-t-elle pas à celle de liberté ? Et cette même notion de liberté n’est elle pas antérieure à celle delégalité et d’ordre?
Avant d’obéir, il faut réfléchir
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Définition de l'individualisme : c'est un sentiment réfléchi et possible dont dispose chaque citoyen à s'isoler de la masse de ses semblables.Pour Tocqueville, la démocratie provoque, au fur et à mesure qu'il y a une baisse des inégalités, une hausse de l'individualisme. Cette augmentation de l'individualisme en tant que particularisme, atendance à nuire au lien social dans un premier temps, puis aux libertés dans un second temps....
...Jan Harmony Mardi 20 Mai 2008
Terminale Littéraire
DM de Philosophie
Le légal est-il toujoursjuste ?
Le nom justice est hérité du latin justitia (même sens), dérivé de justus, « conforme au droit », lui-même de jus / juris, « (le) droit ».
La justice concept et principe désignant le respect du droit et de l’équité ; en morale, la justice désigne le respect et l’équité à l’égard d'autrui. D'un point de vue moral, la justice est parfois...
...Webphilo
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l’égalité des droits à savoir l’égalité devant la loi s’oppose à toute forme de privilège qui
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est-elle nécessairement juste ? Sur quoi...
...N’existe-t-il pas pour chacun un sens de ce qui est juste ou non ? Ce sens de la justice serait alors l’origine de la loi. La justice est un principe de respect mutuel dans la vie sociale et dans une population, une valeur commune qui permet de juger les décisions et les actions, pour nous même et pour les autres. La Justice en tant que telle, doit « rendre la justice » et « dire les règles », au sens philosophique il s’agit d’un idéal, individuel ou collectif. La justice fixe...