La maison aux milles bonbons.
Quand le fameux soir du 31 octobre s’annonce, on sait qui fait la collecte de bonbons, qui en distribue et qui ne participe tout simplement en rien. Dans la dernière catégorie, les abonnés ce font de plus en plus rares. Mais comme dans chaque ville, grande ou petite, il y a toujours une maison sombre, mal entretenue et délaissé que tes parents te conseillent d’éviter et habituellement cette même maison ne participe en rien a aucune activité, quelle qu’elle soit. Mais si je vous raconte cette histoire c’est que bien sur cette année-là, les choses allait changer.
Le propriétaire de cette sinistre maison, était autrefois, au temps de mes parents, un vendeur de confiseries très réputé pour ces talents et sa marchandise. Mais comme le nombre d’enfants était limité et que le nombre de touristes était quasi-nulle, il fut malencontreusement obligé de fermer boutique. Contrairement à un vendeur réaliste et normal, il décida d’emporter tous ces bonbons avec lui en jurant de n’en manger, vendre, ni même toucher aucun. Il devint alors sans emploi et ne tarda pas à sombrer dans la folie de l’homme solitaire.
Donc cette année, au grand étonnement de la ville entière, sa maison brillait de mille feux dans la noirceur du soir de l’Halloween. Personne ne se risqua de déranger le vieux fou en croyant que ça folie ne fessait qu’empirer ou que ces décorations n’étaient qu’un attrape-nigaud, ou une façon d’attirer l’attention des jeunes enfants pour ensuite leur faire subir des souffrances que seul un esprit dérangé pourrait se mettre à exécuter. Mais comme à chaque année, le courageux, le téméraire, celui qui ferais tout pour une poignée de bonbons, l’indéniable moi ce présenta devant la porte décorée de dents qui avaient une allure trop réelle. La grande majorité des enfants de la ville derrière moi, je me préparais à sonner quand tout à coup, l’incroyable ce produisit.
Une trappe s’ouvrit sous mes pieds et je fus entrainé dans une longue descente