La maison tellier
Introduction :
La maison Tellier est un recueil de nouvelle écrit par Guy de Maupassant et publié en 1881. La nouvelle se déroule à Fécamp en Normandie. Mme Tellier est la tenancière d’une maison close qu’elle décide de fermer pour « cause de première communion ». La patronne emmène ses cinq employées avec elle à la communion de sa nièce qui a lieu le lendemain à la campagne. L’extrait d’écrit une ballade de ces dames avec leur hôte dans le village où à lieu la communion. Pendant cette traversée du village, un contraste ressort entre l’austérité et le calme du village avec l’éclat des femmes de la ville. C’est de cette opposition dont je parlerai dans ma première partie intitulée « Des femmes de la ville à la campagne ». Cette excentricité et cette élégance créent un quiproquo dans l’esprit des paysans : les filles de joies sont prises pour de grandes bourgeoises, c’est ce dont traitera la deuxième partie. Tout ceci nous amène à l’aspect religieux du texte et à sa référence biblique : dans la troisième partie que j’ai nommée « Rivet garde ses brebis », j’explorerai la métaphore biblique à travers l’étude du chant lexical religieux.
I/DES FEMMES DE LA VILLE A LA CAMPAGNE
A) Le village
1) Un petit village
2) place de l’église dans le village (elle tient une place prépondérante dans l’organisation du village)
B) Les femmes
1) d’une élégance rare
2) Rangées dans un certain ordre (=>procession)
C) Conclusion menant au quiproquo du texte
II/ UN QUIPROQUO : DES FILLES DE JOIES PRISES POUR DES BOURGEOISES
A) Un Public pauvre culturellement et économiquement B) Un Public très religieux
C) Une profession cachée
-une profession urbaine => inconnue à la campagne
D) « Comme devant une procession