La mesure du bonheur.
• Il y eu bien des tentatives pour réintroduire la question du bien-être à travers la construction d'un indicateur de PIB élargi mais c'est surtout depuis quelques années que la problématique de la mesure du bonheur en économie s'est imposée comme une question légitime en économie.
• Aujourd'hui il y a profusion d'indicateurs économiques, sociaux et environnementaux qui tentent de mesurer le bien-être ou le bonheur
• Comission Stiglitz mis en place par Nicolas Sarkosy en 2008 a pour but l’élaboration d’un indicateur de bien-être : Joseph Stiglitz a une mission sur « les limites du produit national brut comme critère de mesure de la performance économique et du bien-être».
• Premièrement, le bonheur ne peut se réduire au revenu national
• Le « bien-être » est une notion complexe. Sa définition est différente d'un dictionnaire à l'autre, mais elle fait généralement intervenir les concepts de prospérité, de santé et de bonheur. Le bien-être n'est pas chiffrable avec précision.
• Il est aussi courant d'introduire dans la mesure du bien-être des indicateurs de qualité de l'environnement.
• Les sociologues, psychologues, ou biologistes admettent depuis longtemps que les sociétés et les individus ne peuvent éternellement accroître leur niveau de bonheur et que ce niveau demeure finalement à un niveau constant.
• e développement économique ne permet pas d'accroître durablement le bien-être des populations
• Est-il utile (pour qui ? pour quoi ?) d'élaborer un indicateur unique ?
• Peut-on le faire de manière rigoureuse d'un point de vue statistique ?
• Doit-on, pour évaluer les dimensions non monétaires, s'appuyer sur des données objectives (taux de suicide, taux d'émission de gaz à effet de serres, etc.) et/ou sur des données subjectives fondées sur des enquêtes de satisfaction ?
• IBEE : indice de bien-être économique
• IBED : indice du bien-être durable
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