La mobilité à genève
Pour commencer, à Genève les bouchons et le stress sont devenu un mode de vie pour la population et celle des frontaliers. Par exemple le pont du Mont-Blanc qui mène à la gare et l’autoroute sont les endroits les plus perturbés aux heures de pointes où frontaliers et population travaillant hors Genève s’y donnent rendez-vous. Personne ne peux planifier correctement son emploi du temps, car ces perturbations entrainent forcément des retards, ce qui provoque le stress.
Les accidents sont eux aussi lié à ce sur plus de circulation. Le stress et la colère dans les embouteillages distraient les conducteurs.
De plus, les transports public ne sont pas plus pratique. Certes, ils favorisent l’environnement mais puisqu’il y a une majorité de la population qui les utilise, cela rend les conditions de transport pas commode aux heures de pointes.
Ensuite, les causes de ce problème sont par exemple la longueur des trajets pour aller travailler, car de nos jours la distance n’est plus un grand problème, chacun parcourt des longueur faramineuse juste pour travailler tandis qu’il y a quelques années chacun habitait à côté de son lieu de travail afin d’évité d’avoir trop de distances à parcourir.
De plus, les trajets pour les loisirs sont aussi une cause. De nos jours la distance ne fait plus peur aux gens tant que leur loisir leur apport satisfaction et joie.
Et aussi, on peut remarquer que les transports public sont en insuffisance. Et l’individualisme est devenue une façon de penser, chacun pense à son propre confort en oubliant la situation du pays et celle du monde.
Pour finir, pour régler cette situation, il faudrait par exemple, subventionner des