La mode au XIXe me sie cle
La France est devenu depuis le siècle précédent le leader mondial de la mode féminine.
Le style romantique
La taille n’est pas plus haute. Le corset est de retour car avec cette nouvelle mode il faut une taille de guêpe. Les jupes s’évasent et se raccourcissent pour montrer les chevilles mais le plus marquant est la manche avec des ballons et serrée au poignet. Il ne faut pas oublier non plus le décolleté qui est tellement important, qu’il faut le couvrir à l’aide d’une cape ou bien d’un cache-coeur. Pour l’équilibre de la tenue, le chapeau et la coiffure sont important.
La robe à crinoline
De 1830 à 1840.
Le gonflant de la jupe est fait grâce à la superposition de plusieurs jupons. Cela était un signe de richesse. Les jupes s’allongent, touchant le sol. Vers 1850, apparaît la crinoline-cage. C’est un jupon rigidifié à l’aide de cerceaux en acier. Les jupes prennent une grande ampleur.
Cela a pu être réaliser grâce au progrès du fil d’acier , de l’industrie textile et à la machine à coudre. Cette nécessité de beaucoup de tissu fait fonctionner les métiers à tisser et qui sont de plus en plus perfectionner. Napoléon III soutenait l’industrie textile à la grande satisfaction de la bourgeoisie. Vers 1850, les manches se font plus fines et les poignets moins étroits. Cela va avec de petits chapeaux ou des bonnets.
La tournure
Vers la fin 1860, les jupes prennent du volume vers l’arrière et s’aplatissent devant: c’est la tournure qui est un coussinet.
La tournure va durer jusqu’en 1880 et elle sera même présente dans les classes populaires. Après 1850, les robes se composent souvent de deux pièces, les robes sont surchargées. Une exception, une robe une pièce créée en 1870 pour la princesse Alexandra, future reine d’Angleterre. C’est la robe princesse. Les coiffures sont de plus en plus élaborées et les chapeaux se font bien plus discrets pour les mettre en valeur.
La silhouette en S
La silhouette en S et le tailleur pour