La moral de la peine de mort
La peine de mort posé, pose et posera probablement toujours des problèmes de morale.
Déjà, en 1785, des philosophes comme Frederic II et Condorcet remeté en cause la suppression de la vie. « Pourquoi cette condamnation de la peine de mort ? Parce que toute possibilité d’erreur dans ce jugement est une véritable injustice. Comme on me peut avoir de certitude absolue de ne pas condamner un innocent » « il vaut mieux sauver un coupable que de perdre un innocent, et la peine de mort doit être réservée aux crimes atroces (assassinats, incendies par exemple) »
Aujourd’hui, les avocats plaident tous les arguments constitutionnels raisonnables contre la peine de mort : la peine de mort est un châtiment cruel et inhabituel et en tant que telle « interdite par le huitième amendement » et la peine de mort viole des normes contemporaines de moralité . Ces arguments s’opposent à tous les cas de condamnation à mort.
Les opposants s’emploient à démontrer le risque élevé d’erreurs judiciaires dans des affaires criminelles souvent mal instruites et où les préjugés racistes influent sur les décisions des jurys. Les partisans de la peine de mort avancent les arguments que seule celle-ci peut vraiment dissuader les criminels de passer à l’acte et ainsi diminuer le taux de criminalité. Cependant les chiffres démontrent que ce taux est supérieur dans les Etats dans lesquels elle est encore effective à celui des états qui l’ont abolie.
Le deuxième arguments est que cela est aussi une solution de facilité qui permet de se « débarrassent »des individus dérangeants sans avoir a se soucier de « l‘après ».
Ce n’est ni plus ni moins qu’une solution arrangeante pour ne pas avoir à se poser de questions sur la prise en charge des criminels.
Le troisième arguments c’est que certains prétendent aussi que les condamnés a mort « n’ont que ce qu’ils le méritent »
Les partisans de l’abolition de la peine de mort est également, bien entendu,