La mort leur va si bien
Strophe :
« Rubens, fleuve d’oubli, jardin de la paresse,
Oreiller de chair fraîche où l’on ne peut aimer,
Mais où la vie afflue et s’agite sans cesse,
Comme l’air dans le ciel et la mer dans la mer ; »
Commentaire :
J’ai choisis cette œuvre car dans les vers se référant à Rubens, Baudelaire dit : « Oreiller de chair fraiche où l’on ne peut aimer ». Cela m’a fait penser à ce tableau car on peut voir un mont de personnes enchevêtrées, certaines sont agonisantes. Je pense que ce monceau de personnes nues, qui symbolise la chair fraiche montre aussi que l’on ne peut aimer, puisqu’il s’agit d’un massacre.
Titre : La Joconde, de Léonard de Vinci.
Strophe :
« Léonard de Vinci, miroir profond et sombre,
Où des anges charmants, avec un doux souris
Tout chargé de mystère, apparaissent à l’ombre
Des glaciers et des pins qui ferment leur pays ; »
Commentaire :
J’ai choisis ce tableau très célèbre de De Vinci, car dans ses vers, l’auteur nous parle de « Doux souris » et dit« tous chargés de mystère », en effet ce tableau est connu pour le sourire énigmatique de cette femme, et « des glaciers et des pins qui ferment leurs pays » se réfère au 3ème plan du tableau on l’on peut apercevoir effectivement une brume comme dans les pays froid et des pins.
Titre : La leçon d’anatomie, de Rembrandt.
Strophe :
« Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures,
Et d’un grand crucifix décoré seulement,
Où la prière en pleurs s’exhale des ordures,
Et d’un rayon d’hiver traversé brusquement ; »
Commentaire :
Ce tableau de Rembrandt, colle tout à fait avec les vers énoncés par Baudelaire. « Triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement » Dans ce tableau nous voyons un médecin montrer a ses élèves comment fonctionne le corps humain, or ce qu’il faut savoir c’est qu’à cette époque