La mort d’un homme
L’homme succombe aux forces extérieures
Dans un siècle marque par des thèmes de plaisir et en même temps douleur, les passions délirantes et désespérées, l'enthousiasme amoureux et patriotique, le protagoniste vraiment souffre. Foscolo a évoqué ses passions politiques et amoureuses en le faisant passer comme un journal épistolaire, pourtant c’est toujours un roman autobiographique, semi-autobiographique vu que Foscolo ne se suicide pas. Tout le monde autour du protagoniste, Jacopo Ortis, est en chaos, la région de la Vénétie fut envahie, il y a des hommes de pouvoir et de respect qui ont trahi l’Italie, surtout Napoléon, et des lois défavorables qui noircissent l’image de une Italie autrefois reine du monde.
C’est-à-dire que l’Italie était le pays qui envahit et s’imposait sur les autres, pendant l´époque romain, alors que maintenant ce sont les autres qui la volent. Nonobstant Ortis, déchiré par une passion malheureuse pour sa femme Teresa et accablé par la servitude de Venise, la vie d’Ortis devient une souffrance insupportable qui le fait souffrir physiologiquement. A cause de ces deux forces-là, l’amour s'estompe pour fournir l'occasion de réflexions tangibles d'ordre socio-politique sur la situation politique italienne. Donc de deux côtés, deux forces extérieures s’amassent, un amour malchanceux et les forces historique-politique, et elles rendent Jacopo Ortis fou jusqu’à trouver la mort. L’œuvre historique-politique et amour sont des pressures qui l’amènent au fait que le suicide est causé par ces deux forces extérieures en tant que réaction à l’opposition.
On voit que les forces extérieures abîment l’âme dont les résultats sont la dégradation de la santé chez Orits dont intérieurement son état d’âme dégrade et son physique reflète le désarroi dedans. C’est-à-dire qu’il subit une crise psychologique du mal d’aimer. En autre son état de dégradation de santé, le physique d’Ortis aussi reflète l’intérieur de son âme. De