La mort
On pense que le rôle du médecin et de préserver, rétablir la santé, c’est donc le rôle du vivant. Cela voudrait dire que la mort est le témoin de l’échec du savoir médical et des incompétences du médecin Dans sa pratique quotidienne, le médecin s’y trouve confronté :
• Comme tout individu de la société (concerne patient, proches ou la sienne)
• Il peut utiliser la mort (lors d’autopsie)
• Il peut créer la mort (mauvais diagnostic)
Lorsqu’il est confronté à la mort, le médecin doit tenir compte de donnés difficiles à appréhender ; parfois pcqu’ellefont intervenir le vécu personnel et des comportements aussi ancien que l’Homme lui-même.
I/ Difficulté à définir la mort :
Une définition exacte serait difficile à donner puisqu’ ‘elle n’a pas de statut légal, sa définition se ferait « a-contrario » : ce serait la cesation complète et définitive de la vie (Homme, animal, végéta) Pour les biologiste, la mort serait à considérer organe par organe.
Ainsi, la mort apparait comme un processus complexe qui fait intervenir un processus de dégradation (des cellules) et il n’est pas tjrs évident que ce processus soit irréversible L’exigence éthique, professionnelle, demande au médecin de ne pas laisser une perte de chance survenir et donc, lui demande de tout mettre en œuvre pour maintenir la vie.
D’un autre côté, le médecin doit se poser la question de l’acharnement thérapeutique cd la limite pour laquelle soigner devient plus inhumain, plus intolérable que de laisser la personne mourir. Difficulté de définir la mort tient son origine de 3 phénomènes :
• L’angoisse d’être enterrer vivant
• Il y a eu le dvpt de rite funéraire qui on pour but de s’assurer que la personne est bien morte
• Certificat de décès signer par le médecin (car en France, par de statut légal de la mort)
Le diagnostique de la mort, qui peut être fait « -contrario », peut se faire par la description du cadavre :
• Perte de transparence de la cornée + mydriase