Motivation du personnel
Pour motiver leur personnel les entreprises ont recours aux différentes théories de motivation, mais un problème se pose : C’est comment choisir la plus covenable ? Pour cela, on va analyser la composante de la main d’œuvre marocaine et trouver la solution au problème posé.
Au Maroc, la majorité des entreprises nationales comptent parmi leurs effectifs un ensemble de travailleurs qui ont été embauchés et rémunérés suivant des critères hétéroclites. De ce fait, on distingue trois grandes catégories d’employés : En premier lieu, on a ceux qui ont obtenu leur travail grâce à leurs compétences et leurs profils. En second lieu, on trouve la catégorie de ceux qui ont eu leurs postes grâce au clientélisme. En dernier lieu, on tombe sur une catégorie de diplômés surqualifiés qui, du fait du chômage des diplômés, sont obligés de travailler dans n’importe quels postes, l’essentiel c’est de subvenir aux besoins les plus fondamentaux. De ce constat, plusieurs tensions naissent et le travail devient une source de problèmes et d’ennuis. En plus, de l’inégalité en matière de rémunération, de récompense et en matière de relations, on distinguera la différence des niveaux de compétence et de degré de qualification, résultat, tout le monde cohabitent dans un air irrespirable. Compte tenu de cette réalité, on remarquera l’hétérogénéité des employés ce qui rendra l’application d’une seule théorie de motivation une mission quasi impossible. Car, à chaque catégorie d’employés on devrait appliquer une théorie de motivation. On notera, pour la première catégorie que la théorie la plus covenable serait la théorie de l’équité. Pour la deuxième catégorie c’est la théorie des objectifs qui lui faudra, et encore ! Enfin, pour la troisième catégorie, la théorie de besoins humains serait la plus convenable.
En conclusion et à mon avis, la solution pour les entreprises marocaines c’est de combiner les