La motivation
C’est une conception flou, difficile à percevoir, personnel.
Il y a 2 motivation principales : une force externe (parents), une personnelle basée sur le plaisir, l’intérêt.
Nous ne sommes pas motivés par tous.
Il n’y a pas d’action sans motivation (hors inconscience).
Tout le monde connaît ce mot, c’est un mot générique. Il n’y a pas d’acte gratuit, sans motif. Ces motifs sont intégrés à notre personne ou ils sont superficiel, labile qui ne dure pas.
I. Approche historique.
De tout temps on s’est intéressé à la motivation, qui est basé sur ceci : récompense acte bon, punition acte mauvais (behaviorisme) pour faire quelque chose il faut être motivé.
Les philosophes grecs avaient développés une théorie sur la vie : les hédonistes qui consiste à vivre selon ses plaisirs et fuir tous ce qui est négatif.
Platon a classé les motifs de plaisir :
- Satisfaction des sens : éprouver du plaisir par les coups.
- Eprouver des sentiments : affectivité.
- Résoudre des problèmes : plaisir passe par une approche cognitive.
Descartes différencie l’ordre corporel et spirituel dichotomie (manger, dormir…dieu…pensée dominante/travail manuel).
Le romantisme allemand engendra la psychanalyse, pensée beaucoup plus floue/réalité complexe : inconscient = incompréhension à comprendre nos pulsion profondes (Freud).
Watson, théorie S, introspection pas assez pertinente nie le cerveau behaviorisme = SR : conditionnement , renforcement positif ou négatif.
Exemple : théorie petite fille / nounours plaisir ; Watson va créer du déplaisir par conditionnement.
La motivation peut être conditionnée.
Le cognitivisme débarque et remet en cause le conditionnement simple et opérant.
II. Définition.
Thill et Vallerand : « le concept de motivation représente le construit hypothétique utilisé afin de décrire les forces interne et/ou externe produisant le déclenchement, la direction, l’intensité et la persistance du comportement ».
Concept : mot établie