De nos jours, la musique a pris une place très importante dans les moeurs de la société, on y a par ailleurs trouvé des propriétés thérapeutiques. Il semble dès lors intéressant de nous pencher sur certains aspects de la musique.

Peu de gens savent que la musique peut avoir un effet néfaste sur le cerveau des enfants : les "musiques jeunes" qui peuvent mener a un état de transe sont susceptibles d'arreter la formation de l'intelligence et de la personnalité de l'enfant, contrairement aux musique baroques, qui permettent une meilleure intégration dans la société occidentale, gréco-latine et judéo-chrétienne.
Cet état de transe, qui est en fait une excitation extrême du cerveau émotionnel et une perturbation du cerveau intellectuel, peut aussi mener a des actes de violence, de par l'état d'inconscience de l'individu dans cet état.
Mais encore, la musique peut enfoncer quelqu'un dans ses problèmes, en fonction du style de celle-ci : si par exemple une personne a tendance dépressive se met a écouter de la musique classique triste, cela lui remémorera des moments difficiles de sa vie et feront renaître un sentiment de triste en elle.
La mode musicale tend acutellement vers le commercial. En effet, les musiciens contemporains adaptent leur style en fonction de cette mode, et ceci les empeche parfois de jouer selon leur propre style car cela ne rapporterait pas assez de bénéfice pour continuer leur profession.
Tout ceci mène a une sorte d'"uniformisation des styles", qui peut s'illustrer par exemple a la radio, où la bibliothèque musicale de certaines fréquences ne se composent que de quelques dizaines de titres tournant en boucle toute la journée.
Dès lors, c'est parce qu'une musique est connue qu'elle est appréciée, et non connue parce qu'elle appréciée, car il arrive que l'écoute répétitive d'une musique aboutisse à ce qu'une personne finisse a l'apprécier. C'est de cette manière que les radio qui passent de la "pop" recoivent beaucoup plus de subsides que les