La Mère dans Proust et Colette La mère: elle est très importante dans tous les aspects de la vie. Essentiellement, la mère dicte la santé de l’individu. S’il y a des problèmes concernant la mère quand on est enfant, ces problèmes apparaissent souvent dans les autres facettes de la vie plus tard. Par exemple, sans assez d’attention de sa mère, on pourrait souffrir de la dépression, des problèmes de confiance dans les relations amoureuses, ou une variété d’autres problèmes. Dans d’autres cas, la mère pourrait donner trop d’attention à l’enfant, rendant l’enfant dépendant de la mère. Puis, l’enfant développe une fixation sur la mère, et c’est on « un fils à maman. » Freud a développé la théorie la plus connue de la mère, « Le Complexe d’Oedipe. » Dans la mythologie grecque, Oedipe a tué son père, sans le reconnaître, et il s’est marié avec sa mère. Freud suggère, essentiellement, que chaque garçon expérience le désir d’avoir des rapports sexuels avec sa mère et de contester le père pour la position dominante dans la famille, et ces désirs sont très normaux pour les enfants. À travers ces désirs, l’égo est formé. Cependant, si l’étape du complexe d’Oedipe ne se complète pas correctement, une fixation bizarre se développe dans l’esprit de l’enfant. Ces développements étranges du Complexe d’Oedipe et le sujet de la mère se trouvent dans Un Amour de Swann de Marcel Proust et Chéri de Sidonie-Gabrielle Colette. L’histoire Un Amour de Swann est centrée autour d’un homme Charles Swann, qui est connu pour sa ruse. Swann tombe amoureux d’une courtisane, Odette, mais celle-ci ne réciproque pas son amour. Il est constamment « dans un état de mélancholique indifférence à toutes les choses qui ne touchaient pas Odette » (Proust 388), mais sa melancholie pour Odette se transforme en obsession. Swann devient fou de jalousie, il veut connaitre à chaque moment où elle est et avec qui elle est. Sa jalousie imprègne son existence; toutes ses pensées sont sur elle. Par exemple,