L’humanité, qui est l’amour de soi étendu a tous ses semblables semble exclure la méchanceté et ma monstruosité, car, a priori ces deux concepts ne sont pas humain, ce n’est pas propre a l’homme c’est contre nature.
Or, le sujet « la méchanceté peut-elle être monstrueuse ? » suppose que l’homme est méchant.
Le sujet nous propose une possibilité logique ; à savoir qu’il est logiquement possible que la méchanceté soit monstrueuse, puisqu’elle a pour but de blesser et d’atteindre sont semblable : c’est ce qui la rend monstrueuse.
Cette constatation nous amène donc à nous demander, la méchanceté fait-elle de nous des monstres ? Ou encore où s’arrête la méchanceté et où commence la monstruosité ?
Pour répondre a ce problème il est tout d’abord nécessaire de définir les termes du sujet « méchanceté » et « monstrueuse » pour pouvoir montrer que, si la monstruosité est ce qui est contre-nature , alors la méchanceté est monstrueuse, car l'homme est par nature bon, si donc, il ne l'est pas, s'il est méchant, il l'est contre sa nature par quoi, au final, faire le mal, être méchant, c'est toujours être un monstre, faire et agir contre sa nature qui désire toujours faire le bien. Enfin nous allons expliquer pourquoi la monstruosité n’est pas seulement de la méchanceté mais elle peut-être bonté puisque la nature de l’homme est d’être bon, en ce sens que, si le bien, faire le bien, être bon, exige que j'aille contre mes penchants naturels contre ma nature, il est par là monstrueux. Etre méchant en vieux français signifie tout d’abord être mal tombant, malchanceux, or de nos jours être méchant, la méchanceté, a un rapport avec autrui et avec le mal et a plusieurs significations.
Tout d’abord la méchanceté est un penchant à faire du mal, elle vise à atteindre son prochain à lui donner une impression négative voire de le toucher. C’est une façon d’être, un trait de la personnalité. C’est le cas par exemple de la méchanceté pur et gratuite, elle n’as aucune