La mémoire de la shoah en france
Influençant les suivants.
Une ode à la multiplicité
La vie n’est autres harmonie
Quelques îles,
Puis l’horizon sans fin,
Plus de terre,
Qu’importe du mal du pays.
La brume s’épaissit
Pendant que je rumine.
Cette saveur au goût long
Je déguste, d’autres s’étouffent aux goulots.
La sagesse pousse dans la douleur
Comme une plante dans un environnement malsain
Mais sortie, éclot, l’endroit se retrouvera autour d’elle,
Devenue lumière, rendant l’air pur
Les fruits, eux, poussent en une autre saison.
Centre ville, fumant, grisâtre
Les visages jaunes tartre, où est l’art ? où est l’Est ?
Assombries, ils préfèrent louer leurs petits
Et hué leurs enfants.
Dominé par la haine,
Tu te retrouveras le dos miné par les nerfs.
Mange à ne plus en digéré,
Comment feras tu, quand ta faim tu n’assouviras plus.
Dans le pied une épine, celle du superflus,
Comme une piqûre, me vient une voie grec :
« Pour être léger, débarrasse-toi de tes peurs
Poète pour traverser l’Egée, il te faut connaître ton fardeau
Pas de jugements, il est toujours l’heure
Ne serais-tu pas plus heureux qu’avec du pain et de l’eau. »
Soleil, tu réduis
Ma matière à l’ombre
Elle qui n’est autre
Que de ton reflet.
Se brisent, se cassent,
A coup de marteau, a coup de hache
Les dernières vielles illusions.
Ils lurent « si on … »
Depuis ils le cherchent.
Tout un horizon est montré
Ils regardent encore le doigt.
Ils hurlent Son Nom, mais ne s’y reconnaissent pas.
Ah ! Arrive une nouvelle génération,
Qui n’est plus la vôtre
Qui naît plus apôtre.
Un n’a mit que le quart du temps à sortir.
Les amis sont des portes, pas des murs
Enuméré les fois où l’on croise sont destin ?
Oui multiple, mais je te parle du plus haut,
Au-dessus des nuages, au-dessus du pluvieux !
Envieux ? tu loupes ce qui t’appartient.
La sécurité : grimper, grimper.
Il y a tout un champs et tu es ivre a la première grappe,
Écoute ce chant :
« Connaissant