La nature humaine est elle éminemment malléable?

A quoi ressemble l'être humain lorsqu'aucun élément extérieure ne vient entravé sont développement et son évolution? Cette question c'est longtemps posé et elle se pose encore. Chez Marivaux dans la Dispute une expérience à lieu, celle-ci consiste à élevés certains enfants depuis leurs naissance dans un isolement total, hors de toute réalité sociale, afin d'étudier l'homme dans sa nature réel, et non celle que lui aurait imposée la société. Une expérience semblable a lieu dans un roman de Paul Auster, un père élève son fils en dehors du monde, ne lui apprennent pas a parlé afin qu'il développe lui même son propre langage qui serait celui de l'être humain par nature. Evidement ce n'est là que de la fiction, mais il existe des cas réel bien similaire. On pense évidement à Victor de l'avéyrons, l'enfant sauvage dont Truffaut a fait un film sublime (Comme quoi fiction et réalité se confonde souvent). Que ce soit au theatre, au cinema dans la littérature ou tant d'autre endroit encore, on peu dire que cette question est aujourd'hui partout et dans sont questionnement même soulève d'autres questions. L'action humaine est elle déterminée par les loi de la nature? Les lois naturel existe-t-elle? Peut ont parler de nature humaine? La nature humaine est-elle éminemment malléable? Est-elle influençable, transformable, mouvante? Et cela à l'infini? De tout se flot continuelle de questions, un problème ressort particulièrement: est-ce la nature humaine qui fait l'homme, qui le construit, le guidant dans sont développement; ou bien la nature humaine n'est elle que le fruit d'une création de l'homme, qui au cour des siècle ce serait imposé dans nos civilisation? Ce-ci dit aucune de ces deux hypothèse ne s'oppose à l'autre. Bien au contraire. Et parce-qu'il ne faut pas se complaire dans la facilité, nous tenteront, à se problème insoluble, d'apporté une réponse.

I.

Peut ont parler de nature humaine? Dans un