La nouvelle eloïse
Dans un premier temps nous allons montrer comment l’eau est décrite comme un élément essentiel dans ce vergers, puis comment Julie est devenue maitre de cette eau et de cette nature enfin nous verrons comment cette visite du jardin procure de la joie et du plaisir a St-Preux.
L’eau est, dans ce texte, présentée sous son meilleure aspect. En effet l’utilisation d’un lexique très riche et varié tel que « eau », « filets imperceptibles », « ruisseaux », pour nommer l’eau augmente la sensation de présence vaste de l’eau. De plus, ce lexique comporte des termes mélioratifs tel que « limpide et claire », « plus brillante », « plus calme », .... Cette eau agit sur la nature en serpentant tel un « circuit » à travers le vergers. L’herbe au abords de l’eau est toujours verte et les fleurs y sont toujours magnifiques. Toute cette beauté et cette omnipresence de l’eau aussi en harmonie ne serait surement pas possible sans l’intervention de l’homme.
Julie a héritée ce jet d’eau de son père. Ce jet d’eau est décrit comme un amusement pour les visiteurs. Elle raconte a St-Preux comment elle a procéder pour créer ce verger magnifique. Pour parler de la façon dont elle a arrangé les cours d’eau elle utilise des termes fermes tel que « renfermés », ... qui fait allusion a la supériorité de l’homme par rapport a la nature. Le terme « conduire » le cours d’eau, nous montre bien que Julie fait ce qu’elle veut avec cette eau. Ces nombreux changement on nécessites de la réflexion, qui est exprimée par le terme « en épargnant la pente », « avec économie », ... Elle parle de son verger avec beaucoup de fierté. Ces aménagement du cours d’eau on été réalise avec des élément naturels tel que du gravier,