La nouvelle heloise
Description élogieuse d'une communauté en fête.
A. Des circonstances particulières
On est dans une lettre qui s'adresse directement à milord Edouard pendant une scène de vendange à Clarens
→ indications spatiaux temporelles vague dans l'idée de généraliser (toutes les journées sont identiques) – Il ne donne pas d'indication sur le lieu parce qu'il est déjà connu.
-présent d'énonciation → vrai moment ou il ecrit, valeur d'habitude, de répétition, regularité.
-chronologie
« toute la journée » (l1.2)+(l7)
« à dîner » (l3)
« le reste de la journée » (l14)
« le soir » (l25)
Dans le dernier paragraphe le dimanche est situé comme un jours particulier.
-référence au romains (l31) et les saturnales -> joie
=> un cadre défini pour saint Preux.
B. une atmosphère joyeuse
-champs lexical de la joie (orange)
-actions qui soulignent la joie de vivre (rose)
-rythme soutenu, entraînant grâce aux énumération, propositions courtes juxtaposées qui s'échange facilement
→ air guillerette
-la léger té « folâtre » & « badin » (l4&5) → adj qualificatifs -> une impression de legerté et d'atmosphère qui se prête au plaisir
C. L'enthousiasme de Rousseau
Rousseau transmet son enthousiasme dans un cadre joyeux.
L'utilisation d'exclamations de façon répétée entre les lignes 4&21 ce qui marque son engouement, il cherche à convaincre son lecteur.
L'emploi de superlatifs au ligne 2 « la plus grande familiarité » montre l'éloge que fait Rousseau de cette société, de plus l'interjection « Ô! » accentue l'effet de surprise mais une agréable surprise.
Grâce à l'utilisation d'impératifs, l'auteur nous montre comment il faudrait être et sa motivation pour le devenir.
-adjectifs mélioratifs, superlatifs → on ne peut pas trouver mieux : »summum », comparatifs
-formulation hyperboliques « vous ne saurez concevoir » (l1), « la plus grande familiarité » (l2)
-phrases exclamatives qui marquent l'émotion