La part de l'autre
Premièrement, Hitler n’était pas fou .Adolf Hitler était humain comme nous tous, c’est cela que schmitt veut dépeindre dans son roman «la part de l’autre». Comme il mentionne si bien a la page 472, passage de son enfance : «Qu’est ce qu’un homme ? Un homme est fait de choix et de circonstances. Personne n’a de pouvoir sur les circonstances, mais chacun en a sur ses choix». Par cela, nous comprenons que Le père de schmitt voulu faire comprendre à son fils , que personne nait méchant, à la base nous somme tous pareil et au fur et à mesure que le temps passe, les évènement de notre vie définissent ce qu’ont deviendra ou ce que nous seront. Difficile d’y croire, car l’auteur du livre nous compare à un des pires assassins de l’humanité et de plus, dire qu’il n’est pas si différent de nous, peut sembler pour certain un peu paradoxale. Grâce au livre, nous découvrons l’humain en Hitler, l’auteur nous fait grandir avec lui, chaque circonstance passée dans sa vie nous les vivons avec lui et nous arrivons à comprendre comment il est arrivé si loin dans sa folie. La critique de l’internaute