La passion est un état affectif
Le héros s’efforce de lire malgré tout il a « le coup brisé », « la nuque » qui lui « fait mal », ce sont des blessures physiques qui normalement sont causés par une autre personne. On pourrait supposer que l’enfant est « victime » du livre mais aussi de la passion qu’il a pour le roman, il est resté penché sur les chapitres sans lever la tête, une personne normale aurait essayé de sortir de la salle de classe. Mais lui restait à lire son roman, il était totalement coupé de la réalité « sans entendre rien » de ce qui se passait autour de lui, l’auteur utilise une hyperbole pour décrire les sentiments du protagoniste qui était pris d’une « émotion immense », sa passion était à son apogée, il était « dévoré par la curiosité ».
L’auteur a réussi à décrire la passion de l’enfant d’un réalisme troublant, toujours en utilisant des hyperboles à la ligne 42, l’enfant était « remué jusqu’au fond de la cervelle et jusqu’au fond du cœur ». Ce sont bel et bien les « symptômes » d’une passion dévastatrice, qui consume la personne qui en est atteinte. Le livre devient sa passion au détriment de sa propre santé il était seul dans une salle de classe sans nourriture, le surveillant le retrouve « gelé, moulu, les cheveux secs, la main fiévreuse ».Il aurait pu mourir, mourir pour