La passion
* Il s’agira donc de s’interroger sur ce qui est préférable pour l’homme en général, c’est-à-dire de droit et non seulement de faire : est-ce légitime de n’en rester qu’au stade de l’illusion sous le prétexte que la vérité fait souffrir ? En quoi, d’ailleurs, la vérité peut-être entendue comme source de souffrance ?
Problématique
Est-on en droit, sous prétexte que la vérité apporte de la souffrance, tant morale que physique, de lui préférer l’illusion qui nous berce dans une douce ignorance ? La vérité est-elle source de souffrance en elle-même ou seulement en tant qu’elle désillusionne l’homme sur le monde et les choses ? N’est-ce pas bien plutôt l’illusion, dans son caractère irréductible, qui peut être source d’illusion ?
Il faut donc en réalité s’interroger sur le statut de la connaissance : la vérité est-elle apte à rendre l’homme heureux, c’est-à-dire est-elle la réalisation pleine et entière de la nature raisonnable de l’hommhumain.
* Il s’agira donc de s’interroger sur ce qui est préférable pour l’homme en général, c’est-à-dire de droit et non seulement de faire : est-ce légitime de n’en rester qu’au stade de l’illusion sous le prétexte que la vérité fait souffrir ? En quoi, d’ailleurs, la vérité peut-être entendue comme source de souffrance ?
Problématique
Est-on en droit, sous prétexte que la vérité apporte de la souffrance, tant morale que physique, de lui préférer l’illusion qui nous berce dans une douce ignorance ? La vérité est-elle source de souffrance en elle-même ou seulement en tant qu’elle désillusionne l’homme sur le monde et les choses ? N’est-ce pas bien plutôt l’illusion, dans son caractère irréductible, qui peut être source d’illusion ?
Il faut donc en réalité s’interroger sur le statut de la connaissance : la vérité est-elle apte à rendre l’homme heureux, c’est-à-dire est-elle la réalisation pleine et entière de la nature raisonnable de l’homme si elle