DÉBAT : LA PEINE DE MORT

Nom : David Carpentier
Groupe : 51

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Travail remis à Normand Marquis
Dans le cadre du cours de Monde Contemporain

École secondaire du Harfang
Commission scolaire Seigneurie des Mille-Îles
Date de remise : 20 décembre
L’homme, a toujours voulu posséder des pouvoirs qu’il ne possédait pas. Le plus prisée est sans nul doute le pouvoir de vie ou de mort chez ses semblables. Cela demeure un enjeu de taille dans notre société depuis fort longtemps. L’évolution humaine a fait en sorte que des mouvements égalitaires sont nés au fil de l’histoire. Pour ma part, je suis contre le fait qu’un jugement puisse aller jusqu’à la mort, surtout au Canada, terre démocratique.

Argument 1 : L’involution : Notre civilisation a progressé moralement au cours du temps. Si la peine capitale, pratique fréquente dans les systèmes monarchiques et autoritaires de l’époque, était appliquée au Canada, cela serait une rétrogression totale de notre système démocratique actuel.

Argument 2 : La réhabilitation : La science qu’est la psychologie est fondée sur le fait que les capacités émotionnelles, comportementales et cognitives de l’être humains peuvent se rétablir. De ce fait, n’importe qui ayant commis n’importe quel acte peut jouir d’une chance de devenir quelqu’un de socialement acceptable. Il ne faut pas oublier que la plupart des actes commis auraient put être prévenus part un soutien additionnel de la société, par un soutien personnel ou professionnel.

Argument 3 : La banalisation : Je crois que comme la télévision, la peine de mort banalise la mort en tant que telle. Assez pour rendre certains actes naturels et permis aux yeux de certains. De plus, il est scientifiquement démontré[1] que la criminalité dans les endroits où la peine capitale est en vigueur est supérieure, comparativement aux endroits ou celle-ci est abolie.

Argument 4 : Les cibles : Je pense que les jugements en faveur d’une peine de mort dans un système