La pensée politique

Quand une réflexion sur l’humanité tente de se mettre en forme, il y a référence à la philosophie, dans le logos de Platon dont l’ordre est la raison.

Au 19ème siècle, vont se constituer des disciplines issues de la philosophie comme les disciplines médicales, des sciences humaines.

La politique recherche au travers de son vivier ce qu’est l’homme, elle cherche comment ce dernier peut être proche de la référence statistique.
Elle ne prend plus en compte cette politique. Une pensée de l’homme induite dans don universalité.
Elle recherche un ordre au travers du désordre, pour parler de quelque chose.
Ce recueillement effectué par les hommes politiques du langage du bonhomme masse n’est que très peu utilisé, car l’homme politique n’écoute que ce qui est déjà connu, de la pensée de la mémoire, de l’ego.

Est t’il prêt à quitter sa pensée pour elle vers un discours vrai dans ce qu’il a d’intemporel pour le bien de l’humain et enfin aller vers l’essence même de la sagesse.
Est ce que le discours politique ne naît pas des fables et ne cherche t’il pas de laisser muet la population.
Muet parce que pour lui la personne humaine ne peut comprendre ce langage « secret » producteur de sens unique de l’homme politique vers la masse.

Ce qui serait nécessaire pour que la politique soit réhabilitée, il serait important d’avoir un autre regard sur ce qui fait l’humanité de l’homme, qui est en jeu.
Cette réflexion doit pouvoir s’appuyer sur le complexe, la complexité des interventions humaines dans la multiplicité des repères épistémologiques sans pour cela denier l’humain, l’autonomie de tout être.
S’attacher à la complexité, c’est traiter le réel et définir la rapport du discours politique face à l’humain.
C’est à dire aborder l’humain avec ses articulations autour d’articuler, relier, faire jouer ensemble.

Dans une situation humaine, il est question de psychologie, de sociologie, de cultures, de cognition…

Le discours politique ne