La petite fille de monsieur linh
A la fin du chapitre deux, on peut pratiquer une comparaison entre les deux pays. Claudel confronte l’Orient qui est le pays de Monsieur Linh et l’Occident qui est le pays d’accueil et le pays de Monsieur Bark. Dans l’Orient, on constate que de la plus petite à la grande chose, tout a une odeur. Claudel met en place une valeur documentaire sur les villages au Viet Nam. Il décrit le paysage en nous parlant qu’il n’y a qu’une seule rue principale et qui n’est pas goudronnée mais recouverte de terre battue. Ces rues se transforment en ruisseaux lors des grandes crues de pluie et où les enfants batifolent pieds nus dans la boue. Mais lorsque le temps est sec, ce sont les animaux vivant en harmonie et en liberté qui se couvrent le corps de poussière pour se protéger de la chaleur. Les maisons étaient dressées sur Pilotis. Ensuite, on nous apprend que les gens d’un village, qui n’est pas très peuplé ( dans le livre, on nous parle de 12 familles ), sont très communicatifs les uns avec les autres et que chaque famille connait l’histoire des autres familles. La politesse et le respect règne en permanence dans ce hameaux. Alors que dans l’Occident, pour Monsieur Linh c’est comme-ci qu’il naissait une seconde fois. C’est un monde nouveau, un monde où l’odeur des objets est inexistante. Ensuite, le paysage est changeant. Un nombre incalculable de voitures qu’il n’a jamais connu. Ensuite, à contrario à son village, les hommes et les