La place
FREN 4480 Alcott
Automne 2012
La Place
La place retrace la durée d’une vie d'un père qui couvre ses changements sociaux profonds qui changent sa vie. Il a travaillé comme un ouvrier agricole à un ouvrier d'usine et enfin un petit commerçant. Chaque action qu’il fait, il est douloureusement rappelé de son statut social inférieur qui est fondé sur ses origines humbles et une éducation inadéquate. Avant que l'on ne sache rien du tout sur la vie du père, on est péniblement un témoin à sa dernière humiliation qui est sa mort. Au début du roman, au lieu de raconter chronologiquement la vie de son père, la narratrice avec sa mère annoncent la mort de son père au sommet des escaliers, « c'est fini ». La narratrice se déplace rapidement sur la description du cadavre presque répugnant de son père. Les actions que le corps doit endurer après la mort sont très honteuses, mais heureusement, cette honte finale est seulement assisté à par les vivants. Ernaux raconte la mort honteuse de son père. Elle prépare son lecteur pour un récit d’une vie honteuse de son père, où il n'est jamais maître de sa propre place.
Après avoir assisté à la mort de son père, la narratrice parle de l’humiliation de son père sur son lit de mort. Elle commence à parler de la vie de son père. On apprend qu’il commence sa vie « quelques mois avant le vingtième siècle, dans un village de Caux, à vingt-cinq kilomètre de la mer » (p 24). Son enfance coïncide avec l'époque qui est évoquée dans Proust et Mauriac, mais il n'a pas de place dans ce monde. Une personne ne peut pas choisir sa naissance. Le père est né dans une famille de paysans illettrés sans terre entourée dans un milieu social où les gens arrivent à peine à être présentable le dimanche et les enfants ont toujours des parasites. Même si le père vit une vie de honte et il a un peu d’hostilité de sa condition sociale, il a encore un caractère joyeux. Il a un peu de désir de faire avancer socialement par