La planification commerciale
Document 3 : La ville est devenue aujourd’hui « agglomération » et au delà « aire urbaine ».
Les centres commerciaux deviennent les nouvelles centralités d’une ville diffuse. Les entrées de villes = fréquemment centres de gravité de l’espace urbain. Les espaces commerciaux ont souvent précédés l’urbanisation de quelques années.
Convergence d’intérêts entre « distribution » et « périurbanisation ». Ces 2 évolutions sociales sont portée par la révolution de la mobilité doublée de celle du froid (conservation) ou encore de la hausse du pouvoir d’achat.
Ces évolutions = impact majeur sur les transformations de la ville et surtout des entrées de villes.
L’urbanisation commerciale souffre d’un grand laisser-faire réglementaire = pas d’organisation des territoires, pas de planification anticipant les développements.
Document 2 : Les distributeurs ont été accusés de « tuer la ville ». Les « boites à chaussures » se sont installées dans les espaces à faible valeur foncière dans les franges de la villes propices à capter la mobilité grandissante = renforcement de la convergence d’intérêts entre la grande distribution et la périurbanisation.
Arrivée massive de grandes surfaces périphériques qui mettent à mal les petits commerces de proximité trop souvent sous dimensionnés et qui ont eu du mal à résister face à la montée du taux de motorisation des ménages et à l’accessibilité accrue par l’amélioration des infrastructures routières.
Hors document : Les supermarchés de périphérie symbolisent l’étalement urbain.
Idée pour maîtriser cet étalement : favoriser le commerce de proximité.
Document 3 : Traitement des questions commerciales à la mauvais échelle.
Urbanisme de détail confié à la commune quelle que soit sa taille = émiettement et affaiblissement du pouvoir de décision. Enjeux qui dépassent les frontières communales.
Mainmise de l’initiative privée.
Les développements commerciaux alimentent une concurrence entre les