La politique africaine des grandes puissances : les etats-unis, la chine et la france
Depuis plus d’une décennie on observe dans le chef de grandes puissances un regain d’intérêt pour le continent africain. Si les Etats-Unis ont fait un retour remarqué à la fin des années 90 et précisément au début des années 2000, ils sont loin d’être les seuls à avoir réinvesti ce continent qui est un réservoir de matière première pour ses industrie. En effet des pays comme la Chine a l’instar d’autre puissance émergeante, ont accru leur présence dans ce qui constituait il y a peu encore le pré-carré historique européen. A l’image de la Françafrique du fait de la colonisation où au détriment du peuple africain, la France use de sa puissance et de son influence sur les ressources minières, énergétiques et agricoles pour la bonne marche de son économie. L’orientation de la politique d’approvisionnement en matière première des industries américain après le 21 septembre 2001 qui était autre fois dirigée vers le Moyen-Orient trouve sont avenir dans le continent africain. La conquête de l’Afrique riche en matière premières (pétrole, or, cobalt, bois, uranium…) constitue en cette ère un enjeu majeur dans l’économie mondiale. Avec l’émergence de la chine qui dans la recherche d’une nouvelle destination pour les même besoins que la France et les Etats-Unis au profit de ses industries, s’invite a grand pas et grand échelle sur le vieux continent. L’échiquier africain est devenu ainsi un véritable enjeu mettant en opposition les intérêts de grandes puissances. La France se trouve désormais en concurrence évidente avec les nouveau venus sur le continent qui est resté pendent longtemps son ancien domaine colonial ; Le continent est en outre au cœur d’un jeu d’influence de plus en plus agressif avec de politique propre et ce souvent au détriment des pays africains eux même.
Il importe d’analyser les différentes politiques entreprises par ces puissances conquérantes dans leur relation avec l’Afrique au fin de besoin propre pour la gouvernance et le