La poésie
On trouve le champs lexical de la théologie avec « pêché », « remords », « repentirs », « Satan », « le Diable », « l'Enfer. ». Le lecteur est impliqué dans ce tableau et doit reconnaître ses propres vices dans le texte.
On relève les pronoms « nos », « notre » et « nous » par lesquels le poète désigne l'humanité, càd lui + les autres hommes.
Dans la dernière strophe, le poète dénonce « l'Ennui », qui renforce les vices et les culmine, est pointé du doigt notamment avec le point d'exclamation qui le suit. On passe également d'un « nous » à un « tu » qui implique d'avantage le lecteur.
Le poète établit une relation où il aura le rôle de faire ouvrir les yeux du lecteur. Mon on trouve également de la complicité avec les expressions « mon semblable » et « mon frère.
Bénédiction
La « mère » et la « femme » sont accusées d'avoir un jugement négatif sur le poète. Ces éléments bien qu'étant autobiographiques de Baudelaire sont là pour appuyer le mythe du poète persécuté.
On retrouve le chps lexical de la théologie avec « puissances suprêmes », « blasphèmes », « Dieu », « maudite », « expiation », « ange », « l'Esprit », « pèlerinage », « divin » et « saintes liégeons ».
Les strophes 6 et 7 montrent que le poète joue avec les éléments tels que le « soleil », « le vent », « le nuage » et les « bois ».
Le poète est comparé au Christ martyr. On le retrouve dans « l'Enfant », le « chemin de croix » et « le pain et le vin ».
À partir de la strophe 14, le poète fait une force de ses malheurs. « La douleur est la noblesse unique » et « il faut pour tresser [sa] couronne mythique imposer ts les temps et ts les univers ».
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L'albatros
On y trouve l'image de « l'albatros » qui a été humilié par les hommes. En effet, c'est un « prince des nuées » qu'on a forcé à mettre patte à terre sur un navire. N'étant pas habitué à marcher sur le sol, il a l'air « gauche et veule » ce qui