Tout d’abord, la princesse est d’un rang social très important.. On peut relever le champ lexical de la royauté : « arrive à la cour », « elle voulut la mener à la cour », « sans revenir à la cour », « à la cour » la répétition du mot « cour » montre l’importance de l’endroit où elle se trouve.. On observe également le champ lexical de la haute société : « de la même maison que le vidame de Chartres », « une des plus grandes héritières de France » -> insiste sur sa richesse « un des grands partis qu’il y eut en France » -> insiste sur son rang social. Aussi, dans cette société le rapport à l’argent est très important. On peut relever le champ lexical de la richesse : « une des plus grandes héritières de France », «un des grands partis qu’il y eut en France » Egalement, dans cette société, l’union est très importante. Il faut faire un beau mariage pour conserver son rang social : « quoiqu’elle fit d’une extrême jeunesse, l’on avait déjà proposé plusieurs mariages » sa jeunesse n’empêche pas les demandes en mariage car c’est un bon parti. Par ailleurs, l’exigence de sa mère est soulignée par : « ne trouvait presque rien digne de sa fille ; la voyant dans sa seizième année, elle voulut la mener à la cour » Madame de Chartres désire que sa fille ait un mari digne d’elle puisqu’elle accorde beaucoup d’importance à une bonne union. A cette époque, le physique occupe une place primordiale. Cette société favorise la beauté et l’apparence.. Le champ lexical de la beauté est très présent tout au long du texte : « une beauté », « beauté parfaite », « belles personnes », « sa beauté », « de la beauté », « fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres ». La princesse de Clèves se fait remarquer dès son arrivée par son physique. Le verbe « parut » montre qu’elle n’est définie que par sa beauté.
De plus, à la cour, les belles femmes sont admirées. Le champ lexical de l’admiration est très présent : « une beauté à la cour qui attira les yeux de