La princesse de clève

787 mots 4 pages
LA n°1 : La Princesse de Clèves
Intro
 Faire une entrée en matière générale : titre, date, auteur, contexte, mouvement et/ou éléments biographiques. Présenter et situer l’extrait sans l’œuvre.
Madame de la Fayette, élevée dans un milieu intellectuel, a fréquenté la cour de Louis XIV et elle compose son roman sous le règne d’Henri II en 1978. La Princesse de Clèves remporte un grand succès, mais Mme de la Fayette refuse de reconnaître qu’elle en est l’auteur car à cette époque, le roman est mal considéré par rapport au théâtre ou à la poésie. Au début de ce roman, on découvre le portrait de Mlle de Chartres, future princesse de Clèves caractérisée par sa grande beauté.

Problématique
Dans quelle mesure ce portrait est-il réaliste ?

Développement
I L’entrée à la cour d’une beauté
a) Il s’agit d’une jeune fille caractérisée par sa beauté
- L’apparition de la princesse de Chartres à la cour suscite l’admiration et la surprise
-

On le voit dès la ligne 1 avec la tournure impersonnelle « il parut », mais aussi avec le champ lexical du regard composé de « yeux » (à la ligne 1), « voir » (à la ligne 4) ou « vu » (à la ligne
37)

-

Au début du texte, son identité n’est pas révélée, il y a un mystère autour de son apparition.

-

Il y a également de nombreuses hyperboles « une beauté parfaite » (à la ligne 1), « tous des traits étaient réguliers » (à la ligne 38), ou « la grande beauté » (à la ligne 35), qui font de la description un éloge.

-

L’adverbe d’intensité « si » à la ligne 3 insiste sur le caractère exceptionnel de cette beauté

-

Beauté qui est presque stéréotypée, avec « les cheveux blonds » (à la ligne 37) ou « la blancheur de son teint » (à la ligne 36)

b) La cour : un milieu superficiel
- Après l’insistance sur le paraître, l’auteur montre l’importance de l’avoir (= biens, richesses)
-

Ses la ligne 4, on précise ses liens de parenté qui montrent sa richesse « la même maison que le vidame »

-

On remarque aussi le superlatif de supériorité « une des

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