La production frutière en ardèche

589 mots 3 pages
TPE 2010/2011, 1ère ES lycée Jules Froment
Clémentine RIBA, Ambre MARTEL, Mallaury LACROIX.

Sujet : La production fruitière en Ardèche,
Problématique : Quelle est l’historique de la production fruitière en Ardèche depuis le début du XXème siècle ?
A travers diverses recherches et rencontres nous avons étudié l’activité fruitière ardéchoise en retraçant l’historique de cette production qui a fortement chutée depuis les années 80-90 et qui pourtant jadis, était en plein essor. (Il s’agit donc de faire le lien entre les phases d’apogée et de décadence en éclairant les causes de cette chute et les conséquences qu’elle a engendré.)

Il fut un temps…
La culture des fruits fut, pour l’agriculture ardéchoise de la première moitié du XXé siècle, une véritable bouée de sauvetage : les moyens de transports, camions ou chemins de fer, permettaient une expédition rapide vers les centres commerciaux. En 1912, l’Ardéche produisait 9 500 tonnes de fruits en tous genres surtout des pommes et des prunes des Cevennes, des cerises du nord de la vallée du rhone. La culture de pêcher débuta dès 1889 dans la vallée de l’Eyrieux. En 1929, la production fruitière dépassait 20 000 tonnes avec en tête la pêche puis l’abricot, la poire, autour de Tournou, la pomme dans les Cevennes et la cerise un peu partout. C’est notamment pendant cette période que le mouvement de coopération apparu, permettant de limiter les frais de production et d’avoir un impact plus important sur la distribution. Ce mouvement fut encouragé aussi bien par les militants des jeunesses catholiques soucieux de solidarité, que par les radicaux, défenseurs de la petite propriété paysanne, et par les socialistes, porteurs traditionnels de l’idéal coopératif et mutualiste.
D’un point de vue financier, l’activité frutière pour un ardéchois à cette époque était plus que rentable. En effet, on estimait que l’installation d’une plantation de 1 hectare coutait 10 000 francs mais que le revenu brut annuel en pleine

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