La Profondeur des Pauvres
1308 mots
6 pages
La Profondeur des Pauvres Les Yeux des Pauvres par Baudelaire exprime une différence entre l’attitude des gens à propos de pauvres y compris les SDF, les racailles, la populace, ou la tourbe. Il y a une désillusion dans le poème Les Yeux des Pauvres avec l’absence de l’idéal. La scène du poème est vraiment banale à première vue avec une couple bourgeois assis dans un café, mais sur plus d’inspection, on découverte une autre beauté dans le poème : la beauté des pauvres et la profondeur des pensées du narrateur. La poème en prose compare les attitudes des gens en démontrant les réactions des deux gens différents : le narrateur et son amour. En plus, les idées qui convient peuvent être comparé aux celles du roman, No et Moi, de Delphine de Vigan. Le bourgeois narrateur de l’histoire, assise avec son « ange » dans un café, manifeste la compassion et le remords en voyant les pauvres quand, en comparaison, son vrai amour est dégoutée. Il prend compassion pour la famille, mais la femme se sent gênée à cause de leur présence ; c’est un vrai bouleversement pour le narrateur. Il est si ému par la famille en guenilles qu’il déteste la femme qu’il a aimé seulement à cause de sa manque d’empathie pour eux. L’homme contraste le café avec la famille dans la rue en disant que le café est tout nouveau, brillant, et prétentieux mais la famille est sale, épuisée et affligée avec une soif d’avoir une vraie vie sans les contraints de sa station. Le narrateur décrit l’homme pauvre comme « brave » ; l’homme pauvre est en guenilles mais il y a une fortitude de persévérance dans ses yeux, les yeux qui disent « Que c’est beau ! que c’est beau ! on dirait que tout l’or du pauvre monde est venu se porter sur ces murs ». L’homme pauvre est impressionné par peu. Il n’a rien donc les petites choses dans la vie qui la plupart des gens considèrent comme acquis, sont des phénomènes pour lui. Les yeux sont incroyablement expressifs. La famille est réduit à six yeux—ils ne sont pas des gens