La prostitution en france
De Christelle Schaff
Première partie : entre réalité et fantasmes
I. L’offre
Les traditionnelles : On les appelle comme tel afin de les différencier des victimes de réseaux mafieux. Elles revendiquent le droit d’exercer leur activité car ce sont souvent des femmes vieillissantes qui ont acquis une indépendance après être entrées assez jeunes dans la prostitution. Au début de leur acticité, il y a souvent un homme qu’elles aimaient et qui est devenu leur souteneur.
Les hommes : Généralement, les hommes prostitués sont assimilés à des homosexuels et exercent auprès d’une population masculine. La prostitution des hommes est plus rejeté socialement que celle des femmes. L’homme prostitué est souvent assez jeune car il y a moins de client après qu’il ait passé 25 ans.
Les transgenres (l’auteur décide de ne parler que des femmes) : Le travesti reste un homme qui se présente comme femme grâce à ses vêtements. Certains hommes se travestissent juste pour attirer plus de clients.
Les transsexuels eux se définissent comme des femmes et ont donc transformé leur corps.
Les transgenres se prostituent souvent suite à une rupture familiale et/ou sociale.
Les filles de l’est : Suite à la pauvreté, des milliers de femmes sont prêtes à changer de pays suite à une promesse de vie meilleure. Mais elles sont embrigadées dans des réseaux et se retrouvent sur les trottoirs de pays plus riches. Lorsqu’elles se rendent compte qu’elles doivent se prostituer, elles ne peuvent plus faire de pas en arrière car elles se retrouvent sans papiers et sans argent. Les clients sont attirés car ils les considèrent comme « de belles blondes dociles ».
Les africaines : Les premières prostituées africaines venues en France étaient francophones et exerçaient dans les Bordels Militaires de Campagne (BIC) édifiés par l’administration française. Ensuite elles arrivent avec la main d’œuvre étrangère engagée par la France. Ensuite les prostituées