La psychologie clinique. la revolution freudienne.
LA REVOLUTION FREUDIENNE.
Introduction :
La psychologie clinique a des origines grecques qui se rapportent au lit du malade, c’est donc une psychologie qui se retrouve au chevet du lit. Elle consiste en l’observation du patient au plus près.
La psychologie clinique se rapproche (= source) donc du modèle médical, psychiatrique pour peu à peu s’en détacher. La psychiatrie clinique a mis du temps avant de reconnaitre une réalité psychique aux troubles mentaux : mettre en lien avec des pactes sataniques.
Grand renfermement des malades mentaux considérés comme des marginaux. = trouble de l’ordre public, donc cloitré dans de grands hôpitaux.
18ème siècle : inventorier tout les troubles mentaux identifiables. C’est surtout avec Pinel et la libération des fous de l’hôpital de Bicêtre à Paris qui va désaliéner les malades mentaux. Les malades mentaux sont donc considérés comme des personnes à part entière (introduire un peu plus d’humanisme qui va favoriser la psychologie clinique).
•La psychologie clinique est vraiment apparut après la seconde guerre mondiale, c’est une discipline qui s’intéresse aux champs de la pathologie psychique mais aussi aux conduites non pathologiques. La psychopathologie fait partie de la psychologie clinique mais cette dernière a un champ plus vaste que le champ de la pathologie.
•C’est aux États-Unis que la psychologie clinique est née avec Ligtner Witmer notamment.
Puis apparait en Allemagne et en France avec Pierre Janet, Lagache, Favez-Boutonnier…
En France la psychologie clinique a sa propre histoire, Pierre Janet spécifie la démarche clinique en considérant la singularité et la particularité de la personne.
Après, Daniel Lagache qui est le fondateur véritable de la psychologie clinique, édifie une théorie de la psychologie clinique et favorise la reconnaissance universitaire de la discipline différente de la philosophie. En 1947, cursus de psychologie à l’université. Il adopte une position