OUI, la publicité dicte nos désirs.

En quoi pouvons nous dire cela ?

On peut tout d’abords le dire grâce à des chiffres, des sondages.

Regardons tout d’abord ce document. C’est un sondage réalisée en octobre 2005 auprès d’un échantillon national de 1000 personnes représentatif de l’ensemble de la population âgée de 18 ans et plus. A ces personnes on a posée les questions suivantes : voir texte. Pour répondre à notre première partie nous allons nous intéresser à la deuxième colonne du tableau qui démontre le plus cette influence.
Ainsi, si on demande à des personnes ce quelle pensent de l’influence de la pub sur les consommateurs, 73 % pensent qu’elle incite à l’achat, 20 % pensent qu’elle n’ont aucune influence, 5 qu’elles incitent à ne pas acheter, et 2 % sont sans opinion. Donc on voit bien que la plupart considèrent qu’elles ont une influence et plus encore qu’elles poussent à acheter.

De plus :
32,4 milliards d’euros, c’est la somme que les entreprises ont consacrée en France,en 2008, à leurs investissements de communication médias et hors-médias. Les investissements des annonceurs ont représenté, en 2008, 1,65 % du PIB national.
Les nombres seraient ils aussi importants si la publicité n’avait aucune influence ?

Comment s’y prend elle ?

Pour dicter nos désirs, ou du moins les influencer la publicité utilise différentes méthodes.

Tout d’abord il faut savoir que si nous sommes tous confrontés aux mêmes publicités, certains public sont plus fragiles que d’autres faces aux messages publicitaires. Selon notre âge et notre éducation nous résistons mieux à la publicité.
Par exemple: Comme l’explique un expert en neuro-marketing dans son ouvrage L’enfant jack pot, « L’enfant ne comprend complètement l'intention persuasive des publicitaires qu'à partir de 12 ans. Il peut aussi y avoir confusion lorsque la publicité revêt volontairement une apparence non publicitaire.

Mais revenons en au problème, comment la publicité fait