La publicité
J’irai dans le sens de Monsieur Fourastié en débutant par un développement regroupant ma thèse, et ensuite mon antithèse, et je terminerai par une conclusion synthétisant l’ensemble de mon développement.
Aujourd’hui la publicité nous suit partout : chez nous à la télé, dans nos boîtes aux lettres, et dans nos magazines, dans nos rues sur les affiches, et dans nos voitures à la radio. Elle fait partie intégrale de notre vie, et nous influence sans même qu’on s’en rende compte. Elle s’adresse à tous les individus, des enfants jusqu’aux personnes âgées et joue sur notre naïveté et sur notre facilité à désirer quelque chose. Elle impose un impact important sur notre façon de vivre, et nous incite à toujours dépenser plus et à nous laisser tenter par des produits sans utilité. « Désirer l’indésirable », serait par exemple désirer un produit qui nous rend malade. Prenons alors le tabac. Jusqu’en 1998, la publicité sur le tabac était autorisée. Mais qui désirerait consommer un produit nocif, qui détruit notre santé petit à petit ? La réponse serait logiquement : personne, et pourtant, la publicité a réussi à vendre une quantité énorme de cigarettes pendant des années ! Voilà pourquoi la publicité est une violence : elle manipule nos esprits et est alors capable de nous faire désirer une chose que n’aurions jamais désirée en temps normal.
Une première cible privilégiée de la publicité : les enfants. Combien de fois, vous, parents d’enfants, avez-été suppliés pour acheter ce nouveau jouet hors de prix « super