Elle annonce publiquement des informations, attire la clientèle et suscite une certaine réaction.
Des réactions à son propos, vous en connaissez sans doute de nombreuses et cela est normal vus les différences de caractère, d’opinion et de morale qui vous distinguent.
Certes, on entend quand même souvent dire actuellement que la publicité est la plus puissante violence car elle vous pousse à envier l’inaccessible.
En partant de la définition de la publicité : « activité et secteur professionnel ayant pour but de faire connaître un produit et d’en accroître la vente » et de ses buts principaux, à savoir informer et persuader, je vais vous montrer que cette opinion, peut-être exagérée, se justifie pourtant.
Il n’y a rien d’essentiellement bon ou mauvais en publicité, même dans la façon de l’utiliser en tant qu’outil. Si ses effets peuvent être avantageux, et le sont parfois, la publicité est également capable d'avoir une influence néfaste sur les citoyens et sur la société.
D’abord, la publicité prétend informer alors qu’elle n’est qu’une incitation à l’achat basée sur l’outrance et le mensonge. Parfois, l’incitation pousse à la consommation de biens qui sont hors d’atteinte du pouvoir d’achat. Par ce fait, la publicité est violente sur l’esprit qui est tenté mais ne peut être contenté. De plus, les images et les slogans se suivent et se reproduisent pour étouffer notre esprit critique. Ainsi, la publicité commerciale enlèverait à l’homme son bien le plus précieux ; sa liberté de penser.
Si la publicité agit de cette façon sur l’homme adulte, elle le fait aussi sur l’enfant. En effet, celui-ci peut subir des frustrations répétées car il ne connaît pas toujours ce qui est à la portée des finances de ses parents. De plus, on leur montre par la publicité que les fast food sont bons pour la santé, là encore on leur ment et on voit que la publicité est partout : « trop de pub tue la pub ». Pourtant l’importance de la publicité augmente dans notre société moderne