La qualité de l’air en France

Brest, Calais et Dunkerque couronnée « Poumons d’or » de France. On respire mieux dans les villes du littoral : à Brest, l’air est 344 jours par an un air de bonne qualité. C’est ce que nous montre une étude sur la qualité de l’air. En effet, l’air du large est plus pur et meilleur pour nos poumons que l’air que nous respirons en ville. Pourtant, des villes de la côte Méditerranéenne sont polluées ; c’est le cas de Cannes ou encore de Toulon où l’on respire en moyenne 157 jours par an un air pur. La pollution est due dans ces villes à un seul polluant, l’ozone, polluant présent en plus grande quantité dans les villes ensoleillées car les rayons ultra-violet du soleil l’augmentent. Cette pollution est alors principalement estivale et liée aux voitures. C’est ce phénomène qui se passe un jour sur dix à Brest ou Calais.

L’ai pur n’existe quasiment pas car la nature produit elle-même de la pollution. On qualifie pourtant d’air pur un air qui n’est pas altéré par les activités des hommes. L’air est en fait un mélange de gaz, de particules diverses et de vapeur d’eau. Lorsqu’il se charge d’oxyde d’azote, d’ozone, de dioxyde de soufre ou de particules, l’air devient pollué.

Pollution et situation géographique

La pollution varie du simple au double selon que l’on habite au rez-de-chaussée d’un immeuble, près d’un carrefour ou que l’on vive à l’étage. Cette pollution varie aussi suivant la situation géographique : l’air est plus pur en altitude car il n’y a pas de voitures. Il existe tout de même une pollution de fond à la montagne qui provient de l’addition de pollutions multiples sur des durées assez longues. L’air du large est également meilleur pour notre santé : l’air est plus pur dans les villes du littoral. La pollution est due dans ces villes au polluant NO2 et à la poussière soulevée par le trafic routier.

L’indice ATMO est un indice donnent la qualité de l’air sur une échelle allant de 1 à 10. Chaque