La question de la démocratie à travers
En décembre 2010, le printemps arabe a débuté avec l’immolation d’un jeune vendeur tunisien. À partir de cet évènement, tous les pays de la région ce sont enflammés pour avoir enfin le droit à une démocratie et par le fait même, détrôner leurs dictateurs. Dans cette quête de la démocratie, nous croyons que les nouvelles technologies de communication ont joué un grand rôle.
Premièrement, cette révolution a pu se propagé à travers le monde grâce aux technologies. Les jeunes, connectés à internet, ont informé le monde de ce qui se passait dans leurs pays. Plusieurs blogues ont fait leur apparition sur la toile afin de tenir le reste du monde au courant des injustices pourtant trop courante dans ces pays. Au début des dictatures, les populations d’ailleurs n’étaient pas ou très peu au courant des atrocités comme la torture, l’emprisonnement sans raison et l’assassinat des habitants de ses pays. Avec l’avènement d’internet et des réseaux sociaux, ces horreurs peuvent être dévoilées au grand jour. Toutes ces technologies amènent une certaine liberté, avant inexistante, aux peuples opprimés. Elles leur offrent un «lieu» sans censure, ou presque, ou ils peuvent constater comment cela se passe ailleurs et ainsi se faire une idée d’un pays libre.
Deuxièmement, la mobilisation des manifestants c’est principalement faite à l’aide des réseaux sociaux. Les invitations étaient lancées sur internet. Des plans des endroits stratégiques pour les manifestations ou des lieux sécuritaires en cas d’alertes aux gaz lacrymogènes ont été publiés en ligne pour aider les manifestants. Les nouvelles technologies ont tellement pris de l’importante à un certain moment dans la révolution que « le gouvernement égyptien a ordonné à tous les opérateurs de suspendre leurs services dans certaines zones choisies du pays. » De plus, ces gouvernements tyranniques gouvernent tellement, qu’en Tunisie, le président a réussi à resserrer le contrôle d’internet en interdisant notamment les