La question de suicide
Au moment ou DURCKEIM commence à écrire il se pose le premier la question de SUICIDE.
Il établit une définition stricte du suicide, « c’est la fin de la vie, c’est le fait d’accomplir ou de non accomplir un acte ou l’on sait que cela mènera à une fin de vie ».
Il va s’interroger sur le taux de suicide, le nb de suicide par rapport à une population donnée.
• Constat : dans une même société, dans une période courte, il constate que le taux de suicide stagne (lorsque la population augmente, le taux de suicide le suit).
• Ecart plus sensible, c’est ce qu’il appelle « suicide économique ». Il classe les suicides, le suicide égoïste (trop plein de désir individuel), « suicide altruiste » (le suicide dans une période d’anomie)
Il révise le trop plein de règles, qui guide le comportement de l’individu vers sa mort.
ANOMIE : étymologie « nomos »= règles ; anomie= sans règles. Situation ou les règles disparaissent.
L’anomie est l’une des caractéristiques de la société sur laquelle DURCKEIM veut agir. Il est inquiet de la société de son époque, parce qu’il a l’impression que son époque est marquée par des règles dégéneralisées.)
Pour DURCKEIM il existe deux types de sociétés : archaïques et modernes • Dans les sociétés modernes la solidarité peut se faire dans le travail (crises économiques), les individus ne pouvant plus être encadrés par des règles.
L’inquiétude de DURCKEIM, la place du travail dans la société qui est affectée par les crises économiques (augmentation de celles-ci).
DURCKEIM dit du suicide, que les responsables de la société doivent se poser les bonnes questions quant à ce taux de suicide. Il faut donc solidifier les rapports entres les individus, les réencadrer sur le lieu du Travail. On peut parler de « corporation » (organisation politique qui donne des règles).
C’est en quelque sorte