La question des impôts
Avec le déficit la question sur l'augmentation ou la diminution les impôts se pose. Nous allons voir quel sont les avantages et les conséquences de ses deux stratagèmes.
I La réduction des dépenses publiques peut apparaître comme une option préférable car elle semble moins nuisible a la croissance.
Le taux d'imposition ne doit pas dépasser un certain seuil, sinon les recette fiscal de l'Etat risquerait de diminuer, du fait notamment du comportement des ménages contribuables. En effet la fraude fiscal, ou le travail au noir risquerai d'augmenter. C'est pourquoi une baisse des impôts favorise le consentement a celui si, ce qui permet de limiter les fraude fiscal et autre comportement défavorable au prélèvement. La baisse des impôts peut également avoir un effet favorable sur l'activité économique. Une baisse des impôts entraîne une augmentation des revenu disponible des ménages, ainsi que les profit des entreprises, ce qui favorise la consommation et l'investissement. Ainsi en consomment d'avantages les ménages et les entreprises qui constituent le principale moteur de la croissance stimule celle ci, ce qui favorise indirectement la production et l'emploi.
Néanmoins malgré cela cette solution ne semble pas toujours être la meilleur. En effet dans la démocratie modernes, les impôts constituent l'essentiel des recettes fiscales car les recettes non fiscal sont limité.
La baisse des impôts entraînera systématiquement la baisse du nombre et de la qualité des service public.
De plus une baisse des impôts n'est pas profitable équitablement pour tous, mais surtout pour les plus riche. En effet les impôts serve également faire une redistribution des richesse. Et par conséquent, si les impôts sont plus bas il y a une plus faible redistribution.
La baisse de certain impôts ne sont pas tous forcement bénéfique. Par exemple la taxes sur le tabac. Baisser cette taxes encouragerai a la consommation.