• La reconnaissance au travail
La reconnaissance dans le travail constitue un jugement posé sur la contribution du travailleur, tant en ce qui touche le procédé de travail que l'investissement personnel et l'engagement. Elle consiste aussi à évaluer les résultats de ce travail et à les souligner. En somme, elle s'intéresse à la contribution unique de chaque travailleur, et valorise son expertise et son expérience professionnelle.
Selon la sociologue Danièle Linhart. Le travail serait désormais privé de sa dimension altruiste. Car, comme l'a analysé Emile Durkheim, travailler, c'est contribuer à faire exister la société.
Le post taylorisme se caractérise par l’ajout de principe de qualité et de responsabilités des salariés sur une logique qui reste taylorienne en matière d’organisation de travail dit la sociologue. C'est-à-dire qu'en introduisant la responsabilité aux salariés on les pousse finalement a stresser pour faire de leur mieux et de faire justement un travail de qualité donc s’ils font un travail avec une qualité non conforme ils seront responsables de leurs erreurs.
Les salariés se plaignent de ne plus avoir la convivialité au sein de leurs usines alors que dans les années tayloriennes ces dernières représentaient pour eux leur deuxième foyer, Aujourd’hui c’est devenu plutôt un travail de plus en plus individualisé engendré par la modernisation ou les travailleurs cherchent à accroitre leur productivité en mettant en place les moyens nécessaires (technologie et automatisation mais non la convivialité) aux salariés pour y parvenir. Or dans les années tayloriennes le travail était pénible mais le collectif jouait un rôle trop important dans la vie des salariés car ils se sentaient solidaires entre eux. L’auteur rajoute « dans les années taylorienne il y’avait un collectif représentait par une bonne ambiance entre les salariés ».
Désormais, l'entreprise est devenue l'unique cause qui vaille. Elle capte seule le sens du travail: c'est à son service que